ELIZABETH IRVING • Brighter Than Sunshine

• LA PIÈCE

Let the rain fall, I don't care,
I'm yours and suddenly you're mine ...,
Suddenly you're mine.

Brighter Than Sunshine - Aqualung.

Nom :

Prénom(s) :

Surnom :

BOULETTE À ROULETTE

POPO DE CACHALOT

Âge :

Date de naissance :

Nationalité :

Signe Astrologique :

Statut/Profession :

Billy

CINÉ-AU LIT

quel point

~~aussi minable soit-il~~

• LE RÔLE PRINCIPAL

Qualité Prédominante :

Défaut Prédominant :

Particularités psychologiques :

Hyper-activité.
Environnementalisme.
Charisme.
Christianisme.
Hystérie.
Affection.

Les tréfonds de sa vie privée :

Bientôt.
Bientôt.

• LES RÔLES SECONDAIRES

Elijah Cunningham
[Robert Pattinson]
Amoureux.

Anelie Cunningham
[Rachel McAdams]
Soeur d'Hell à temps partiel, peste à temps plein.

• L'AUDITION

Quelle serait la réaction de votre personnage face à l’existence des anges ? :

GÉNIAL !

HUM-HUM

Trop

D’ailleurs, Port Ellen comporte plusieurs mythes à ce sujet (existence passée des anges gardiens). Pense-t-il qu’il y a un fond de vérité, ou que ce ne sont que des racontars de grand-mères naïves comme des poux ? :

T'EST POIRE

T'EST DUPE

S’il venait à devenir un ange, serait-il plutôt du genre à vouloir garder le secret ou vouloir l’exposer au grand jour, sans honte ?

YOUHOU

OPTION 1

Ce qui vous plaît chez le sexe opposé :

Ce qui vous déplaît chez le sexe opposé :

Votre pire expérience amoureuse, pourquoi, avec qui :

Dans son intimité, il/elle porte :

HIHI

Série télévisée favorite :

Votre chiffre chanceux :

Vos projets/ambitions pour le futur :

Finir ses études.
Brosser Billy.
Aider Elijah à s'accepter tel qu'il est.
Minimiser les disputes.
~~Trouver à Ann une qualité.~~
Découvrir les secrets d'une peau douce.

On dit Guimauve ou Marshmallow ? :

Thé vert ou Café instantané ? :

Aimez-vous détruire du styrophone :

Votre QI est l’équivalent d’un/de :

HURPF

• LE BACKSTAGE

Prénom/Surnom :

Pays/Région :

Sexe :

Célébrité figurant sur l’Avatar :

Comment avez-vous connus Sancte Spiritus ? :

Avis sur le forum :

• LE SCRIPT

Anecdote de l'Enfance/Adolescence :

« - Seigneur, bénis ce repas.
- Bénis ceux qui l'ont préparé.
- Et donne du pain à ceux qui n'en ont pas, AMEN.
- AMEN, répétèrent Elizabeth et la mère de cette dernière en chœur. »

Sur cette note prospère, la salle à manger des Irving se cala dans un silence consenti de mâchements et d'assiettes. Seuls les carillons de la cours arrière jouissaient du calme de la pièce pour chanter, tandis les cierges pour danser. Elizabeth, 15 ans et ¾ à l'époque, enviais visiblement Ben le pendule pour battre la mesure, Merry le ventilateur sur pied de mouvoir l'air et toutes ses minuscules poussières anonymes, rassemblées au garden-party du boudoir éclairé, de susurrer entres elles pendant l'heure du repas. Bien entendue, elle n'avait pas la moindre idée de ce qu'elles racontaient mais ce n'était qu'une question d'heures. Elle passais tellement de temps à les observer et si peu à manger - du moins, distraitement. Son regard vacillait entre Ben et les poussières, Ben et les poussières, les poussières et Ben. Le christianisme était l'une de ses plus grandes fiertés mais, s'il y a avais bien quelque chose qui l'abhorrait plus que tout, c'était l'heure suivant la bénédiction. Comprimer tout ce nerf derrière un masque posé révélait de la ... psychose, non ? Lizzy aborda un rictus de mécontentement que Monsieur Irving ne se manqua pas de louper. Bien sûr, il n'y avais pas un son, pas un mouvement qui relève de l'imperceptible ici.

« - Elizabeth, tu va bien ? demanda-t-il en dépossant sa fourchette.
- Oui ... très bien, sa n'a rien à voir, admetta Lizzy avec exaspération.
- Qu'est-ce qu'il y a, alors ? Tu me semble distraite tout à coup.
- Pas tout de suite, Garett ..., lui rappela Madame Iriving d'un ton entendu.
- Bien ..., marmonna-t-il dans sa barbe, passant la main dans son visage ».

Elle s'apprêtait à engloutir ce brocoli, tendre et délicieux d'une cuisson à la vapeur et au diables les carillons, lorsque ...

- Très bien j'me lançe, Susan, lança Garett en dépossant une main sur la tienne.

Lizzy regarda sa mère d'un oeil affolé, qui lui répondit du même regard perplexe. Non mais qu'est-ce que c'était que ce cirque ? Chez les Irving, l'heure du repas était sacré. Depuis quand avions nous le droit à la parole ? Inutile de préciser qu'elle s'attendait au pire.

- Depuis quelque temps nous essayons de t'en toucher mot, Susan et moi. Pas vrai, Susan ? Cette dernière sembla hésiter, puis, victime d'une illumination, acquiesça d'un fin sourire forcé. Elle semblait en effet tout aussi désapprobatrice du moment choisi. Ce qui s'est passé au cours des semaines dernières, avec le jeune Micheal Young, nous as ouvert les yeux. Peut-être avons nous tardé cette discutions, hum, un peu trop longtemps. Il marqua une pause. Je parle bien sûr de sexualité.

Son visage blêmit. Noooooooooooon, pas sa !

« - Papa, c'est ridicule ... tu sait bien que je n'y pense pas avant le mariage, répliqua Eli d'un rire nerveux.
- Ce n'est pas ridicule. Nous sommes des parents ouverts et ...
- ... compréhensifs ! ajouta Susan en hochant positivement la tête.
- Nous devons t'avouer quelque chose.
- Je vous écoutes ?, murmura-t-elle prudemment, leur faisant face à présent.
- Eh bien ...,
- Les bébés ne descendent pas des cigognes ! »
Anecdote de la Vie Actuelle :

Le tracé de ses lèvres pleines. Le galbe de sa cuisse. D'un sourire distrait, Lizzy buvait son reboostant naturel bien-aimé (un café au soya fait maison) alors que ses yeux avides de LUI papillonnaient non plus sur l'homme, mais l'ange qu’elle aimait tant. Fait numéro un, elle avait pour mœurs d’étudier ses traits à la lumière de l'aube, dormant comme un loire alors qu'elle ne tenait déjà plus en place à 5h00 du matin (contraste amusant). Ses muscles se relâchaient, sa bouche s'ouvrait en une expression béate, ses traits devenaient aussi doux qu'un marshmallow tout rose. Hell Cunningham, vulnérable ? Beth leva les yeux au ciel. Très amusant. Même après 2 ans de cohabitation commune, il y avait toujours une partie de sa tête auquel elle n’avait pas accès, des songes scellés à double tour. C’était le meilleur comme le pire ; tout à fait son genre. Démesuré et bouillant. Mais lorsque venait de parler de lui, de ses tourments, sa alors, c’était une autre paire de manche. « Dit moi ! Dit moi ce qui te déplaît dans le fait d’être un ange. Sa ne change pas qui tu est, tu est ado…- ». Il l’a repoussait sans cesse. « Oh, lâche-moi Elizabeth (ouch !), tu commence franchement à me sortir par les yeux ». Mieux valait s’arrêter ici avant qu’il ne ruine le mobilier du salon. Et pourtant, là, maintenant, ses traits bercés par le sommeil rendaient les choses si faciles … Il était là. Nu à ses côtés, s’entremêlant avec maladresse aux draps de coton égyptien offert par ses parents. La couleur albâtre de sa peau se fondait harmonieusement au couvre-lit crème, et, il inspirait. Expirait. Son corps tout entier se mouvait au rythme de ses souffles. Cette vision si intime de lui propagea à Elizabeth une exaltation de plaisir. Aucune femme, aussi proche soit-elle, ne l’avait vu si authentique.

Elle se pencha doucement vers le corps inerte à ses côtés pour baiser sa paupière (déjà plus romantique que les matins où elle lui criait dans l’oreille, « BON MATIN ELIJACHOU ! ALLER FLEMMARD, AU BOULOT ! », en lui tirant par la tête un polochon de plumes de canards). Quelques secondes à le lorgner, assez proche pour sentir son souffle chaud balayer ses joues qu’il gémit déjà. Un œil. Puis deux, qu’il ferma aussitôt. Un petit sourire espiègle traversa son visage aussi vite qu’il se sauva. Quoi ? Hell foutu l’un des nombreux oreillers spongieux sur sa tête (notamment le favori de Lizzy), puis, silence radio. Eli était complètement larguée, but de l’exercice.

« - Non mais qu’est-ce que tu fait ? demanda-t-elle, légèrement froissée.
- … (silence radio).
- T’as mal à la tête ? Tu veux un café au soja ? insistait-elle en lui secouant le bras, croyant qu’il y avait visiblement un problème. Elle n’avait soit rien capté à la blague ou au sourire, qu’elle avait manifestement loupée.
- …
- Chéri ? Je sais qu’il est tôt, je n’aurais pas du te réveillé, excuse moi. Tiens prend le mien, lança-t-elle sur une note joyeuse en lui tendant la tasse au slogan environnemental « There is no Planet B ».
- …
- … ?
- …
- Tu te fou de moi ou quoi ? siffla-t-elle en haussant un sourcil, retirant par ce fait la proposition qu’elle lui avait faite quelques secondes plutôt.

Un rire s’échappa d’entre les couvertures alors qu’il en sortit, complètement hilare. Elizabeth grimaça ; elle était plutôt joueuse mais, ce matin là, c’était complètement déplacé (après toutes ces réflexion sur la profondeur de ses sentiment et les difficultés qu’ils rencontraient ! C’est donc tout ce qu’il avait à ajouter ? PFFFFF). Elle lui jeta un rapide coup d’œil ; il était terriblement sexy avec ses cheveux ébouriffés, et … nu comme un vers de terre. Mais lorsqu’il tenta de l’enlacer et d’enfouir sa tête dans son cou, Elizabeth le rebuta directement. Le téléphone sonna.

- TÉLÉPHONE ! s’écria-t-elle comme excuse d’un large sourire forcé. Elle ne voulait pas lui faire voir directement son désaroi. »

Se tortillant sur le lit afin d’agripper le combiné, elle sentit la main d’Elijah caresser sa hanche dos à lui. Sa lui valut un râlement.

« - ALLÔ ? répondit Lizzy qui ne cacha pas son exaspération.
- Irving ? lâcha la voix à l’autre bout du fil, agacée.

Cet enthousiasme ne la trompait jamais. Anelie Cunningham.

- Cunningham, eh bien. Qu’elle surprise que tu nous appelle à … (elle se retourna vers sa droite pour regarder l’heure du cadran, où Elijah lui sourit au passage. Elle l’ignora royalement d’ailleurs) 6h34 du matin ! Ha ha ha.
- Je sais bien que tu grouilles déjà à quatre heures du mat', alors pas la peine de la jouer irritée. On se passe des fausses politesses, Irving ? Passe moi dont mon frère.
- Désolé, il n’est pas en air de parler. Disons qu’il a … MAL À LA TÊTE. »

Quelques protestations se firent à sa droite, qu’elle ignora également.

«- Passe moi la, dit gravement Elijah pour 31ème fois.
- Non reposes toi, t’avais pas mal au crâne, dit dont ? insista-t-elle en guise de protestation. Bien sûr, elle avait pris le temps de boucher le combiné histoire que la belle-soeur n’entende pas une bride de leur conversation.
- Je ri-go-lais, Lizzy. Depuis quand t’a plus le sens de l’humour ?
- C’matin, bougonna-t-elle. »

Elle reprit sa conversation avec Anelie où elle l’avait laissée.

« - Tu disait ?
- Va te faire foutre, grogna An.
- Grossière, siffla la brunette en plissant des yeux.
- Tu sais quoi ?
- OUI, affirma Elizabeth.
- Très bien, dans ce cas j’crois qu’on a plus grand-chose à ce dire. Tu me le passes, maintenant ?
- Oh, comme par magie il se sent mieux ! dit-elle d’un air sarcastique. J’t'le passe. »

Elle plaqua le combiné contre la poitrine d’Hell, qui la fixa en marmonnant un « He … Hello ? ». Il cherchait à lire dans son regard, perplexe. Elle la jouerait illisible, elle aussi.

- C’est à ton tour d’être larguée …, marqua-t-elle d’un rire nerveux en quittant la chambre.

La plupart du temps, leurs disputes étaient aussi niaises que sa.

» BEN CONNELLEY - sunshine in your life.