Sancte Spiritus
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 BEN CONNELLEY - sunshine in your life.

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Benjamin Connelley

Benjamin Connelley


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MessageSujet: BEN CONNELLEY - sunshine in your life.   BEN CONNELLEY - sunshine in your life. Icon_minitimeSam 29 Nov - 20:39

BEN CONNELLEY - sunshine in your life. 2ufvyhf




« Cuz you're my, you're my, my, my true love, my whole heart
Please don't throw that away
Cuz I'm here for you
Please don't walk away and
Please tell me you'll stay, stay »



    • LA PIÈCE

    Nom : Connelley. On ne va pas s'étendre sur le sujet, il le tient de son père.
    Prénom(s) : Benjamin Joseph. Elevé dans une famille très croyante, on lui a donné le nom du père nourricier de Jesus Christ. Benjamin est une sorte d'hommage à son arrière grand père.
    Surnom : Largement Ben.
    Âge : 21 ans.
    Date de naissance : 11 septembre 1986.
    Nationalité : Anglaise.
    Signe Astrologique : Vierge. C'est ironique.
    Statut/Profession : Pour l'instant rien. Même s'il a dans la suite de créer un magasin de disques. Après, il faut qu'il fasse des économies.


    • LE RÔLE PRINCIPAL

    Défaut Prédominant : Naïf. Il croit aux licornes.
    Qualité Prédominante : Attachant. Je veux dire par là, qu'il vous colle s'il vous aime bien.

    Particularités psychologiques :


      .• I WISH I WAS A JEDEI.
      Personne ne niera, n'avoir jamais vu Ben sans un livre dans sa poche, ou même sous son tshirt. C'est une vraie obsession, tout comme les jeux vidéos. Il a toujours été un vrai geek, un rat de bibliothèque, dans le genre plutôt mignon. Il ne portait pas de lunettes, mais sa passion pour les livres classiques, comme de science fiction lui ont rapidement valu le surnom affectueux du nain chercheur dans sa ville natale de Liverpool. Doucement mais lentement, cette idée de changer d'identité, et de devenir Jedei comme dans Star Wars, s'installa dans son cerveau un peu trop développé pour ses quinze années.

      .• KIND OF TOO NICE.
      Benjamin, c'est le serviteur de madame. Anelie ne manquera jamais de rien, surtout pas d'amour, même s'il n'est pas si réciproque. Il se casse en deux pour lui offrir des cadeaux, qu'elle ne regarde même pas, il dépense tout son argent pour elle, et fait quelques économies pour s'acheter une maison pour y aller vivre avec sa femme. Il est beaucoup trop gentil, se plie en quatre pour le bonheur des autres, oubliant quelques fois le sien. Au final, il peut être malheureux mais ne pas le montrer.

      .• PREY GOD TO.
      Il a été élevé dans une famille croyante. Une genre de secte, où propreté et sagesse est de rigueur. Ben étant celui du milieu, entre Joshua, son grand frère et Jane sa petite sœur, il se devait de donner l'exemple à sa sœur. Tout le monde est d'accord pour dire que Joshua n'était pas un exemple, mais Ben à réussi à se construire tout seul. Donc, chez lui, c'était prière tous les soirs avant de manger, prière avant de dormir et surtout prière à l'église le dimanche matin. Et puis Noël, sans cadeau, Noël religieux. En gros, Jesus est le dieu à la maison, et quand on jurait, la règle en fer était pas loin.

      .• I LOVE HER, BUT DAMN SHE IS JUST EVIL.
      C'était un mariage rapide. Très rapide. Ils se voyaient, se charmaient, s'embrassaient une seule fois et se retrouvaient à l'église. Le lendemain, ils étaient mariés. Et Anélie criait presque au viol alors qu'il ne l'avait pas touché. Leur histoire est bizarre, originale. Elle a demandé le divorce, il a refusé. Parce qu'il était amoureux. Un soir, Anélie piqua sa crise. Lui avouant tout ce qu'elle avait sur le coeur, dont son amour inconditionnel pour lui. Il la rendait folle apparament. Il respecta sa promesse. Il n'en reparla pas, et préféra se cantonner aux choses habituelles; elle qui crie, lui qui se marre et elle qui le frappe. Son quotidien, il l'aime à en crever.

      .• UGLY FEAR.
      C'est ridicule, mais il a peur des chiens. Les petits, les gros, les moyens. Même un chihuaha le ferait partir en courant. Certaines fois, il se contrôle, sinon il se mettrait à trembler et à pleurer comme un bébé. Mais la présence d'un chien dans la salle, le met plus que mal à l'aise. On ignore tout du pourquoi de son aversion, mais certains racontent qu'il s'est fait mordre les fesses plus jeune. Le fait d'en parler, lui arrache des sueurs froides.


    Les tréfonds de sa vie privée :

      .• DAMN THAT IS WEIRD.
      Vous allez vous marrer. Exploser de rire, taper avec votre poing le bureau tellement c'est marrant. Ben .. n'a .. jamais couché avec une fille. C'est peut être pour ça qu'il est si patient avec Anelie. Il lui laisse le temps de découvrir qu'il est indispensable à sa vie, qu'elle se mette en tête son odeur, son image. Qu'elle se rende compte que ce sourire qu'il lui adresse sans relâche, est sincère et amoureux. Les besoins charnels, il n'en a pas. Bon d'accord, peut être lorsqu'il l'espionne alors qu'elle est sous la douche, mais après tout, elle est sa femme, légalement.

      .• CRY IN YOUR BED
      Il pleure, il pleure. C'est un grand bébé géant, qui a le cœur au bord des yeux tout le temps. Si on le vexe, il boude, et pleure dans son coin en silence, laissant les larmes partir. Ou sinon, son refuge idéal est la salle de bains. Il se met dans la baignoire, se recroqueville et apprécie le calme, pour laisser ses larmes coulés. Petit, on lui disait qu'il allait se noyer dedans. Il s'en fout, il est beaucoup trop émotif et fait des petites crises comme ça.


    • LES RÔLES SECONDAIRES

    BEN CONNELLEY - sunshine in your life. Rm4
    Anelie Cunningham
    [ Rachel Mc Adams]
    Ma femme. Je l'aime à en crever, et elle ne le voit pas. Je l'aime à me jeter à ses pieds et elle préfère me frapper. Je m'en fous, ma vie entière lui est dédié, qu'elle aime ça ou non.

    BEN CONNELLEY - sunshine in your life. 015
    Elijah Cunningham
    [ Robert Pattinson ]
    Le beau frère. Il sait ce que je ressens pour sa soeur, et sait que je suis trop sensible. Ce mec vaut de l'or et franchement je suis content de l'avoir comme famille.

    BEN CONNELLEY - sunshine in your life. Np2
    Elizabeth Irving
    [ Natalie Portman ]
    Je suis censé ne pas l'aimer, mais au final, j'aime bien sa manière de résister à ma femme. Puis, Lizzy mérite Elijah * pas taper *

    • L'AUDITION

    Quelle serait la réaction de votre personnage face à l’existence des anges ? : OMFG. On voit bien Benjamin, la bouche ouverte en train de baver. Et puis la science fiction, il adhère.
    D’ailleurs, Port Ellen comporte plusieurs mythes à ce sujet (existence passée des anges gardiens). Pense-t-il qu’il y a un fond de vérité, ou que ce ne sont que des racontars de grand-mères naïves comme des poux ? : Un fond de vérité. Prenez Elijah, son beau frère. Il est rayonnant de beauté, un vrai ange. Anélie aussi. Ben serait presque parano à crier que sa femme est un ange.
    S’il venait à devenir un ange, serait-il plutôt du genre à vouloir garder le secret ou vouloir l’exposer au grand jour, sans honte ? Garder le secret. C'est tellement plus drôle de se découvrir.

    Ce qui vous plaît chez le sexe opposé : Son odeur. D'accord, c'est glauque.
    Ce qui vous déplaît chez le sexe opposé : La manière de me repousser. Attention, je ne désigne personne.
    Votre pire expérience amoureuse, pourquoi, avec qui : Jenna Sanders. 10 ans et demi, castration car roulage de pelle.
    Dans son intimité, il/elle porte : Des vêtements ?
    Série télévisée favorite : How I met your mother. Barney est son dieu.
    Votre chiffre chanceux : Il n'est jamais chanceux.
    Vos projets/ambitions pour le futur : Ouvrir un magasin de disques.
    On dit Guimauve ou Marshmallow ? : Les deux, il est à croquer et trop tendre.
    Thé vert ou Café instantané ? : Thé vert. Il préfère les plantes.
    Aimez-vous détruire du styrophone : C'est quoi un styrophone.
    Votre QI est l’équivalent d’un/de : Un geek. Du genre beaucoup plus que la normale.

    • LE BACKSTAGE

    Prénom/Surnom : Smooke I love you
    Pays/Région : France.
    Sexe : Féminin..
    Célébrité figurant sur l’Avatar : Charlie Cox
    Comment avez-vous connus Sancte Spiritus ? : Par une certaine Safe ?
    Avis sur le forum : Il déchire ?


Dernière édition par Benjamin Connelley le Dim 30 Nov - 20:47, édité 12 fois
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Benjamin Connelley

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MessageSujet: Re: BEN CONNELLEY - sunshine in your life.   BEN CONNELLEY - sunshine in your life. Icon_minitimeSam 29 Nov - 20:40

BEN CONNELLEY - sunshine in your life. Nn7g90





« Marshall: I'm full of surprises tonight.
Lily: So there's more surprises?! Like what?
Marshall (screaming): BOOGADABOO!!! And that's all of them! »
« How I met your mother rocks. »




    • LE script

    ANECDOTE DE L'ADOLESCENCE.

    BENJAMIN CONNELLEY dit le nain au rire trop aigu.
    INCONNUE je squatte ta chambre, mais à poil c'est mieux.

    BORDEL. La soirée avait bien commencé. Joints, alcool à volonté. Chips étendues sur le tapis du 17éme siècle de ma mère, sauce tomate qui jonchait sur les murs. On aurait cru que la guerre s'était ramené chez moi, et qu'elle était repartie, toute contente de sa soirée, emportant avec elle les rideaux. Ma mère allait criser, pire, se suicider avec la tringle du rideau qui pendait. Tout était détruit, le coca s'étalait à terre en pétillant et je prenais ma tête entre mes mains, maudissant mon grand frère et ses copains trop délurés. Je n'étais même pas l'origine de ce chantier, et j'allais me prendre plein la tête. Ni une, ni deux, je prenais un sac poubelle recyclable et je commençais à nettoyer du mieux que je pouvais. Je poussais les personnes endormies, bave coulant sur le côté de leur bouche. Je vérifias quand même qu'ils ne soient pas morts. Imaginez, après le massacre, les assassinats. Les voisins avaient déjà jasés une fois parce que la tarte au potiron de Maman avait été envoyé en retard aux pauvres, alors le scandale qui s'en suivrait, déclarerait ma peine de mort. J'entendais déjà le " Doux Jésus " de ma mère, lorsqu'elle verrait ses tableaux peinturlurées d'une substance inconnue. La grimace qui était sur mon visage, ne fit que se renforcer. Encore mieux, je montais dans ma chambre et une femme inconnue était allongée, complètement nue.

    En tant que puceau, je refermais la porte directement. Sûrement une conquête de mon frère. Je soupirais, râlais lorsqu'il ramenait des femmes au foyer. Je suis croyant, bordel et pas de sexe avant le mariage. Quoi que, à cet époque, je n'aurais pas dit non à une belle fille. Bon, je n'étais pas ce gros pervers de Joshua - aînée de la famille Connelley, 18 ans à cet époque là, et déluré à vie. Papa & Maman répétait qu'il finirait en enfer - j'étais sage, mignon et irréprochable. Bizarrement, je savais qu'ils allaient me crier dessus, que la faute serait mienne. Pourquoi ? Peut être l'énorme tag qui trônait dans la cuisine " Benjamin est l'auteur de ces faits ignobles. " Mmf. Hier soir, j'étais chez Daniel et on discutait des nouveaux comics qui venaient de sortir. Et mes parents, étaient beaucoup trop crédules. Joshua était le grand de la famille. Belle gueule, sens de la repartie, futures études dans le droit. Moi, j'étais le second, le nain qui riait pour rien et qui se cachait dans ses BD, préférant lire que faire du sport. Mais merde, j'étais pas potelé pourtant, et les filles me trouvaient mignons. Mais ma foi, me laissait choir devant une fille qui s'offrait à moi.

    Bref, je me cachais les yeux sagement. Je prenais une chemise qui trainait, la recouvrait et pouvait enfin la détailler. J'aurais aimé la décrire merveilleusement, mais elle ressemblait vraiment à une traînée. Du genre, blonde, 105E, rouges à lèvres qui coulaient. Et c'est sûr qu'elle n'avait pas que jouer au Monopoly ce soir. Mon hypothèse était confirmée par la capote qui traînait sur la table de chevet. En l'occurrence, MA table de chevet et LEUR capote pleine. Je crois bien que j'allai vomir. Mais je résistais, et reprenait mon calme. Je me tournis un instant pour effectuer le bilan, l'état des lieux. Et une main m'attrapait, et je me retrouvais sur le lit, qui sentait pas la rose. J'écarquillai les yeux, et faillit crier lorsque cette blondasse enfourna sa langue dans ma bouche. Elle avait, plus que sans doute, dû me confondre avec mon grand frère. Bordel, c'était pas agréable.

    « MAIS MON DIEU ... OU EST JOSHUA ?? » Je la regardais s'écarter soudainement de mes lèvres, et la laissait reprendre son souffle, qui avait été perdu dans ma bouche. J'avais cet air extrêmement géné de la situation, et j'aurais pu partir me cacher sous mon lit, tellement le feu et la honte me montait aux joues. Je balbutiais comme je pouvais, quelques mots d'excuses. « Je .. tu ... je suis .. Ben ? Son .. frère. » Un instant après, je me levais rapidement et lui tendait sa robe, enfin une des robes qui étaient à terre. L'image désagréable d'une partouze me parcourut l'esprit et j'éclaircis ma voix pour reprendre la parole. « Je suis .. désolé .. pardonnes moi .. je ne voulais pas .. tu .. m'as .. » La jeune femme, se mit à rire soudainement. Mes mains se tordaient dans tous les sens, j'étais plus que gêné, terrifié de honte. C'était à peine, si je ne m'assommais pas moi même pour m'éviter une humiliation. « Oh. D'accord, c'est pas grave. Tu diras juste à Josh' de m'appeler ? Je suis Cindy. Enchantée d'avoir exploré tes amygdales. » Sa voix s'étrangla dans un fou rire, et elle était parti en moins de deux. Mes yeux écarquillés, je riais à l'intérieur. Une poupée gonflable venait de lécher les cordes vocales. Bon dieu, il fallait que j'aille me confesser.

    ANECDOTE DE LA VIE ACTUELLE.

    BENJAMIN CONNELLEY ou le mari beaucoup trop gentil, le gros soumis.
    ANELIE CUNNINGHAM la femme qui s'en prend automatiquement à ce mari parfait.

    Merde. Dix heures du matin, sourire aux lèvres, je la regarde. Elle bave sur l'oreiller, ses cheveux ont l'odeur désagréable de la cigarette et elle a un air féroce, le ronflement s'échappant de sa bouche entrouverte. Et bordel, elle est toujours aussi magnifique. On me dit que je suis maso de rester avec une femme qui ne m'aime pas, qui me frappe et qui crie parce que je l'appelle chérie en public. Mais merde, c'est ma femme. Bon d'accord, ma femme au sens figuré. On s'est marié alors que l'alcool fort parcourait nos veines, qu'on avait les idées ailleurs et que je rampais presque à ses pieds pour qu'elle ne daigne me regarder. J'étais complètement soûl, au bord du coma éthylique, mais j'étais follement amoureux d'elle. Elle aussi. Mais sous l'effet de l'alcool. Ce qui était très dérangeant, car sa seule parole le lendemain matin, fut " SALE PERVERS TU MAS FORCE JE VAIS TE FOUTRE LES FLICS AU CUL '. Et en criant, s'il vous plait. Mais moi, moi et mon caractère tout tendre, tout douillet, je ne pouvais la laisser partir. Le jour suivant, elle m'apportait l'annulation de mariage, ou plutôt le divorce. Je n'avais plus qu'à signer. Mais je ne le fis pas. Depuis, elle me le fait payée.

    J'habite depuis un an, avec elle chez ses parents. Les Cunningham sont des gens réellement gentils, attentionnés, même trop. Son père est du genre à me demander si j'ai bien été aux toilettes le matin, alors que sa mère se préoccupe de la vie sexuelle de sa fille. De ce côté là, elle n'a pas à s'en faire. Anelie ne me touche jamais, à part pour me frapper. Et pour tout vous dire, je n'ai pas réellement besoin de sexe pour rester avec elle. C'est la honte, mais je suis puceau, et ça me convient. Juste son sourire me comble. Je suis beaucoup trop romantique, on me l'a toujours dit. Lorsque j'étais petit, je me repassais en boucle les Disney. Cendrillon, La belle et la bête et compagnie. Et je pleurais comme une madeleine. Au début, mes parents m'ont pris pour un homosexuel [...]

    Alors, aujourd'hui, dix heures du matin, je passais ma main sur l'épaule fragile de ma femme. On dormait dans le même lit, elle prenait toute la place. Je me retrouvais avec deux centimètres et demi pour dormir, et je m'en contentais. Elle respirait fort, parlait même dans son sommeil. Et elle ne rêvait jamais de moi. D'un chat, d'un poisson ou d'un rhinocéros, mais jamais de moi. Et je l'écoutais, toute la nuit. Je croisais les doigts pour que le matin, elle me prenne dans ses bras, qu'elle m'embrasse tendrement et me dise qu'elle m'aime. Bordel, je rêve.

    Je me pris une droite. D'accord, ce n'est pas comme si je ne m'y attendais pas. Chaque matin, de chaque jour, je lui caressais l'épaule pour qu'elle se réveille doucement. Et chaque matin, elle me flanquait un coup parce qu'elle détestait que je la touche. Là, mon œil fut atteint et je poussais un petit cri alors qu'elle se dirigeait vers la porte, prête à partir. Je fis une grimace, et crut un instant que j'étais borgne. Borgne d'amour, peut être. Je me levais, la suivait. Le même schéma, je m'asseyais en face d'elle, et prenait des céréales. Et je lui souriais, encore et encore alors qu'elle n'affichait que sa tête d'enterrement, ce teint morne qui me donnait envie de l'embrasser. J'avoue être un peu maso. Je pris la parole, comme toujours. « Tu as bien dormi, mon ange ? » Elle grogna, et me lança un sale regard. « De un, je suis pas ton ange. De deux, tu ronfles. » Je faillis lui faire remarquer qu'elle ronflait plus fort que moi, mais j'étais tellement délicat que je n'osais pas. Je ne bronchais pas, et pourtant. Je me leva, déposa un baiser sur son front en passant, et me prit un coup de pied dans le tibia. Et j'allais prendre une douche.

    Je revenais, parer pour une journée. Elle était affalée sur le lit, fixait le plafond et chantonnait une chanson que je ne connaissais pas. Je la regardais un instant, et alla m'asseoir sur le lit, en sa compagnie. « On fait quoi cet après midi ? » Un soupir s'échappa de sa bouche. Je fis ma petite moue susceptible et haussa un sourcil. « Il n'y a pas de nous. JE vais au cinéma, JE vais faire les boutiques. TU vas de ton côté. » Mon cœur se brisa une fois de plus. Je ne comptais plus le nombre de fois où elle me brisait mon organe vital. Aujourd'hui, nous en serions au chiffe de un million, deux cent cinquante mille trente six fois. J'avais tellement envie de l'embrasser, alors qu'elle me lançait ce regard maléfique. Pourquoi je m'accrochais ? Parce qu'Anelie était la première femme à me faire sourire le matin. Elle était drôle, lorsqu'elle le voulait, douce avec tout le monde sauf moi et caractérielle. J'adore ce caractère de cochon, j'adore ses sous entendus. J'adore tout d'elle, et ça se voit. Je ne peux laisser mes yeux vagabonder sur un autre corps. Je la dévore des yeux, je l'aime à en crever. Et pourtant, une seule soirée, elle m'a montré que c'était réciproque. Je ne sais pas si elle avait bu, si elle avait fumé quelques substances illicites, mais c'était la plus belle soirée de ma vie. Elle m'avait avoué qu'elle m'aimait, que je la rendais folle. Et le lendemain matin, elle était dans mes bras et je retrouvais l'ancienne Anelie. Celle qui me frappa lorsqu'elle découvrit mes mains sur ses hanches, mais qui se souvenait sûrement de ce baiser torride et magique. Tout ce qu'elle a hérité, c'est d'une fidélité incroyable et d'un mari prêt à tout pour elle. La plupart serait heureuse. Mais je ne sais pas ce qu'elle cherche.


Dernière édition par Benjamin Connelley le Dim 30 Nov - 19:05, édité 19 fois
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MessageSujet: Re: BEN CONNELLEY - sunshine in your life.   BEN CONNELLEY - sunshine in your life. Icon_minitimeSam 29 Nov - 20:40

I love you
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MessageSujet: Re: BEN CONNELLEY - sunshine in your life.   BEN CONNELLEY - sunshine in your life. Icon_minitimeDim 30 Nov - 20:46

I love you j'ai fini.
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MessageSujet: Re: BEN CONNELLEY - sunshine in your life.   BEN CONNELLEY - sunshine in your life. Icon_minitimeDim 30 Nov - 23:04

J'adore, c'est complètement parfait I love you .
BIENVENUE ! Tu peux poster : )
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MessageSujet: Re: BEN CONNELLEY - sunshine in your life.   BEN CONNELLEY - sunshine in your life. Icon_minitime

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