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 You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM

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Madyson Dillingham

Madyson Dillingham


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MessageSujet: You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM   You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM Icon_minitimeSam 29 Nov - 8:43

    You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM Leighton07

    • LA PIÈCE

    Nom » Dillingham.
    Prénom(s) » Madyson.
    Surnom » Mady, Dill
    Âge » 22 ans.
    Date de naissance » 14 septembre 1986.
    Nationalité » Irlandaise et Anglaise.
    Signe Astrologique » Vierge. Loin de l'être réellement.
    Statut/Profession » CÉLIBATAIRE ; Madyson n'aime pas parlé de sa vie privée. Pourquoi ? Simplement parce qu'elle est loin d'être à l'image de ce que ses parents lui ont appris tout au long de sa courte vie. Marginale, préférant vivre selon ses pensées, ses désirs et ses impulsions, on pourrait qualifier Madyson de célibataire en quête de plaisir. Loin de vouloir s'engager, cependant, elle préfère nettement les courtes aventures, se noyant dans ce genre d'excès de plaisir simplement pour vivre pleinement, dit-elle. BARMAID ; Elle travaille, depuis environ trois ans, au F11 Night Club, le bar le plus branché de Port Ellen, où se retrouve tous les jeunes du coin. Travaillant du mercredi au samedi soir, ce qui lui permet d'avoir un semblant de vie, Madyson continue d'étudier à distance simplement pour sa culture personnel. Cependant, elle n'a pas l'intention de quitter la région de sitôt, alors ces études lui sont fortement inutile. Une bonne façon de dépenser son argent car le savoir est probablement ce que l'on a de plus précieux, sauf notre vie.


    You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM Leight13

    • LE SCRIPT

    Anecdote de l'Enfance/Adolescence ;
    Résidence Dillingham, 2001.
    Je les détestais tellement. Pourquoi est-ce qu’il avait fallu que j’ai deux grands frères, idiots qui plus est, sur cette terre. Avoir une petite sœur me suffisait amplement, alors. Warren et Darian, deux pestes de frères que je devais endurer, jour après jour. Et en plus, ils étaient jumeaux! Identiques! Ils pensaient et imaginaient des mauvais coups ensemble, et ils s’étaient royalement mit en tête de me faire suer! Et ils avaient bien réussi leur coup avec ces araignées. ARK! J’ai probablement dû réveiller papa et maman avec mes cris et mes insultes, en fait, je crois que personne à la maison n’a ignoré ce signal de guerre… Mes petits monstres avaient beau être deux, mais moi, j’étais seule et j’étais bien plus rusée qu’eux. Ils allaient le regretter. Amèrement.

    D’abord, il me fallait des couleuvres. Warren les détestait et je me ferais une joie d’en mettre à mon tour dans son lit, mais pas uniquement là, non, ça c’est certain. Dans son sac, dans ses poches de manteaux, dans ses souliers… PARTOUT ! Ces petits bêtes ne m’effrayaient pas – tant qu’il n’y avait pas d’araignée autour. Pour Darian, ça allait être plus difficile… il se disait si brave, mais il était si pouilleux, à l’évidence. Un petit menteur, un hypocrite. Tiens, pourquoi pas ses jolies petites fourmis, celle qui avait construit leur nid sous le perron de la maison ? Du sable, des fourmis et des couleuvres. C’est maman qui allait crier au meurtre. Ça promettait, haha !

    « Mady, Mady ! »

    Bon, là voilà qui s’amenait, la gamine de sœur. Janessa, cette petite chérie qui me suivait comme la peste. Mais que j’adorais tout de même, il ne fallait pas s’y tromper.

    « Janess, qu’est ce que tu fais dehors à cet heure ? »
    « Maman veut que tu rentres, elle voulait que je vienne te chercher. »
    « Mais je suis occupée, je vais rentrer plus tard. Promis. »
    « Alors je reste avec toi ! »
    « Non ! Va-t-en, Janessa ! »
    « NON ! Je. Reste. »
    « Rahh, d’accord. Alors, aide-moi ! Et tu la ferme, tu ne dis rien à papa ni à maman… SURTOUT à maman. »

    Me regardant, un sourire en coin, j’ai su qu’elle avait compris. Ici, mes frères étaient rois et Janessa et moi, nous n’étions rien. M’enfin, pour ma mère. Pour mon père, nous étions ses petites princesses. Mais il n’avait aucun pouvoir contre ma dictatrice de mère lorsque venait le temps de nous punir, ce qui faisait en sorte que Warren et Darian s’en sortait toujours. Mais bon, il était plaisant de savoir que je n’étais pas la seule dans cette maison qui adorait faire suer les deux frères que la nature nous avait donné.

    « On va bien se marrer, Janess, je t’assure ! »
    « Tu sais quoi ? Tu devrais mettre du beurre d’arachides dans les souliers de Darian… »
    « J’t’adore, toi, avec tes idées ! »

    Ce coup allait être prometteur. Maman allait surement mettre des semaines à s’en remettre.


    Anecdote de la Vie Actuelle ;
    F11 Night Club, 2007.
    Trois heures du matin, enfin. La soirée avait été longue, les jours de semaine, c’était toujours ainsi au boulot… loin d’être très intéressant, la clientèle était vieille, ces adultes qui se croyait jeune et qui se prenait, l’espace d’une soirée, pour un adolescent. C’était d’un ennui totale et cela me dégoutait de voir forniqué ensemble deux adultes de l’âge de mes parents. Eurk, l’horreur, quoi ! Et il n’y avait jamais de beaux prospects, les soirs de semaine ; la plupart étant des étudiants responsables, il préférait rester chez eux à étudier. Où il le faisait à la demande de leurs parents. Ohh, c’était bien, de ne plus avoir ces contraintes, de pouvoir faire ce qui me plaisait quand je le désirais. M’enfin… ça, c’était ma vie avant que je décide d’accueillir ma gamine de petite sœur à la maison, mais bon, je ne regrettais rien de tout ça. Je la comprenait tellement, cet envie de fuir, de vivre sa vie selon ses désirs, ses besoins, et non pas selon la volonté de nos géniteurs préférés.

    Soupirant, j’entrepris de nettoyer complètement le comptoir de service avant que mon patron ne me le demande d’un ton impoli et arrogant, un petit verre dans le nez, comme chaque soir. Une chance qu’il n’était pas seul en affaire parce qu’avec une telle attitude, le bar n’aurait pas eu une très longue vie. Son partenaire d’affaire était tellement plus responsable et adulte que… lui ! Bref, je préférais ne plus y penser. Et me concentrer à la tâche ardue de rendre ce bar propre, un vrai défi lorsque ces fichus buveurs s’amusait à mettre de la bière partout. Fichu concours de calage d’alcool…

    « Hmff… »

    Me retournant, je tombais face à face avec le DJ de la place, un certain Hamlet, à ma connaissance. Je n’avais jamais constaté à quel point il pouvait être ordinaire, ce garçon, loin d’être mon genre, en fait. Il faut dire qu’il n’avait jamais été aussi près de moi et que je n’avais jamais prit la peine de l’observer. Il y avait tellement d’autres spécimens plus intéressant dans le paysage que sa petite personne n’avait pas trouvé sa place dans ma sélection. Mais bon, ce soir, c’était différent. Et c’était lui qui était venu vers moi. C’est à croire que les rumeurs à son sujet étaient vraies. Un autre garçon qui serait déçu, j’en suis sûr. Ça compensait pour le nombre indiscutable de garçons que j’avais la chance de satisfaire, haha !

    « Oui ? »
    « Je peux te raccompagner, ce soir ? »
    « Euh… »

    Merde, pour une fois que je pouvais rentrer seule, il fallait maintenant que je m’encombre de lui. Certes, j’aurais pu lui dire non, refuser et prétexter autre chose… comme que j’étais déjà accompagné, mais le bar était vide, il ne restait que lui, moi, et le patron qui dormait sur le comptoir, bavant de tout son long – et voilà, mon nettoyage était ruiné, maintenant ! Je n’avais pas trop le choix.

    « Euh, d’accord. Si tu veux. »

    Je pris tout mon temps pour aller chercher mon manteau, qui trainait dans les vestiaires d’employés, puis, je reviens vers lui, clé en main – aussi bien verrouiller la porte puisque le boss était incapable de le faire. Marchant dans mon ombre, Hamlet me suivit, silencieux. Tant mieux, s’il pouvait être comme ça tout au long du chemin, j’aurais au moins l’impression d’être seule. Et, étonnamment, c’est ce qu’il fit. Mais j’étais loin de me sentir aussi seule que je l’aurais pensé, quelques secondes plus tôt. Non, Hamlet ne cessait de me regarder, de me fixer sous tous les angles possibles. Il me scrutait à la loupe, et lorsque je tournais mon regard vers lui, je voyais le sien bifurqué vers autre chose, comme par hasard. Comme si j’étais idiote, beta ! Je sais bien que tu me regardes, que tu m’observes. Tes yeux ne savent pas mentir, contrairement à toi.

    « Hum… voilà, je suis arrivé. Merci d’avoir marché avec moi… Hamlet, c’est bien ça ? »
    « … »

    Vous savez quoi ? Je n’ai jamais eu aussi peur, en ce moment. Ce silence inquiétant, son regard si sérieux qui me regarde, m’observe… j’ai l’impression qui tente de lire à travers moi. Il semble déterminer, mais à quoi, je n’en ai aucune idée. Oh ! Maintenant, si… il se rapproche de moi, de tellement près que je dois reculer contre le mur de mon bloc. Qu’est ce qu’il tente de faire, bon sens ! Je me retiens de crier, je n’ai pas envie que ma sœur se réveille, que les voisins entendent ce qui se passe… il ne peut pas me faire du mal. Non, il n’en a pas le droit.

    « Je t’aime tellement, Madyson… »

    Je n’ai aucun moyen de réagir, même pas le temps pour une seule parole que ces lèvres se posent sur les miennes avec une violence, une rage qui ne m’est pas habituelle. Et qui m’effraie parce qu’à se moment précis, je suis loin d’apprécié et de désiré ce baiser. Vraiment très loin.

    « Lâche moi… arrête ! Merde, qu’est ce que tu fabriques ! »

    Sa main se faufilait sous ma jupe, tâtait ma jambe, ma cuisse… un frison de dégoût et de peur descendit le long de ma colonne.

    « ARRÊTE ! »

    Un réflexe, tout simplement, me sauva la vie. Ma main partit sur son visage et mon genou, dans son entrejambe… Reculant, incrédule, il me regarda et je pu lire dans son visage la panique. Il ne semblait pas plus comprendre ce qui venait de se passer et, sans un mot, il s’éloigna de moi, rapidement, sans un regard en arrière.


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MessageSujet: Re: You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM   You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM Icon_minitimeSam 29 Nov - 20:31

    You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM Leight11

    • LE RÔLE PRINCIPAL

    Défaut Prédominant : Superficielle.
    Qualité Prédominante : Sociable.

    Particularités psychologiques :
    » Arachnophobe ; Ses voisins se sont souvent pleins de ces cris hystériques, mais que voulez-vous, il a fallu que Madyson tombe sur un appartement que les araignées aimait bien visiter. Et pour notre chère Mady, ça, c’est ce qu’il y a de plus horrible ! Elle trouve ces bêtes affreuses, dégoutantes, écœurantes, bref, il n’y aurait jamais assez de qualificatifs pour les décrire selon la demoiselle. Il faut dire que ses frères y sont peut-être pour quelque chose… après tout, d’aller lui mettre des araignées dans son lit alors qu’elle dormait profondément n’était peut-être pas l’idée du siècle. Si elle n’avait pas été aussi criarde, ses parents auraient pu croire qu’il lui était arrivé quelque chose de grave, ce jour là. Mais non, que des araignées velues et énormes qui se sont faufilé sous son chandail, la chatouillant au passage. Ne vous inquiétez pas, cependant… Mady a bien su se venger de ses ainés.

    » Folle des peluches ; Vous devriez voir sa chambre, c’est incroyable. Telle une gamine, Madyson possède une bonne centaine de peluche en tout genre dans son appartement, allant aux petits toutous mignons (chat, chien) jusqu’à ses trucs énormes qui trônent sur son lit, soit d’énormes peluches en formes de lion, de panthère et de tigre. Elle ne possède aucune peluche en double et, à chaque mois, elle en ajoute une nouvelle à sa collection pour son simple plaisir. Sonteddybear le plus précieux lui vient de sa grand-mère; il s'agit un vieil ourson abimé, qu’elle a dû réparer à maintes reprises, mais qui est très important à ses yeux. Elle l’a d’ailleurs mit en évidence sur sa commode, dans sa chambre. Si vous désirez être gentil avec elle ou si vous avez quelque chose à vous faire pardonner, donner lui une peluche en cadeau… même si elle ne vous pardonne pas totalement, elle prendra au moins le temps de vous écouter puisque vous aurez attiré son attention.

    » Matérialiste ; Que faire lorsqu’il n’y a tout simplement rien à faire ? Et bien, pour Madyson, la réponse est simple : les magasins, les boutiques où tout synonyme s’y rapprochant. En fait, c’est simple ; son cher paternel lui a fournit une magnifique petite carte magique (une carte de crédit, pardis) qui lui permet d’acheter tout ce qu’elle désire, et ce, sans soucis monétaire, outre celui de payer son loyer et sa nourriture. Cependant, avec cette carte vient la folie dépensière de tout vouloir, y compris ce qui ne nous est pas utile. Et c’est là que les achats compulsif commence, du truc complètement inutile (un statut affreuse en métal et en bois qu’elle a trouvé à la boutique d’antiquité de Port Ellen) jusqu’à la magnifique robe qui vaut une fortune et que la belle ne porta qu’à une seule reprise (soit lors du mariage de son frère ainé). Son appartement, encombré déjà par les peluches, cache aussi plusieurs trouvailles : si vous prenez la peine de fouiller dans les armoires et les garde-robes, vous pourriez être surpris des merveilles et des âneries qu’on pourrait y découvrir.

    » Libertine ; Chaque soir, un nouveau garçon, une nouvelle histoire. Chaque soir, une autre aventure, un autre amant. Ce n’est pas exactement la vie qu’elle mène, mais cela y ressemble étrangement. Elle commence sa soirée au bar en discutant avec les clients. Et puis, un homme décide de lui payer un verre. S’il l’attire, elle acceptera et continuera de boire avec lui. Et on sait tous très bien comment se terminera la soirée. S’il ne lui plait pas, elle acceptera son verre tout de même, mais n’hésitera pas à s’en éloigner pour continuer à servir ses clients. Elle est certaine libertine et qualifiée de pute par certaines personnes, n’en reste pas moins qu’elle choisis ses hommes, du moins, c’est ce qu’elle essais de faire croire. Désirant noyer ses déceptions amoureuses, elle n’a trouvé que ce remède (le sexe) pour y arriver. On est loin de la petite fille sage et fragile qu’elle était, gamine. Aujourd’hui, elle est femme, elle est belle, sexy et provocante. Elle a même déjà accepté de coucher pour de l’argent mais sa conscience ne lui a jamais pardonné.

    » Sensible ; Si je vous disais qu’elle adore regarder les films d’amour, vous y croyez ? Qu’elle pleure lorsqu’elle visionne des films comme Le Roi Lion et Bambi ? Qu’elle est follement amoureuse de ce cher Edward dans Twilight ? Et bien, malgré ses apparences garce et charmeuse, Madyson cache un cœur qui recherche lui aussi son idéal de bonheur. Chaque matin, lorsqu’elle se réveille au côté d’un garçon inconnu, une boule se créer au fond de son ventre, lui rappelant au combien elle est seule. Mais elle recommencera toujours, puisque pour elle, tout cela est devenu un peu comme une drogue, une dépendance, une vie de laquelle elle ne peut pas se détacher.

    » Naïve ; Il est tellement facile de faire croire n’importe quoi à Madyson. Autant une nouvelle totalement fausse (une rumeur démente à propos de son acteur préféré) jusqu’aux petits aléas de la vie… Si je vous parle de naïveté, c’est que, pendant plus de trois ans, la brunette qu’elle était partageait sa vie de couple avec une autre femme. En fait, pas exactement. Disons plutôt que son amoureux du moment ne lui était pas très fidèle et qu’il la manipulait en claquant des doigts, la séduisant lorsqu’elle voulait le quitter, lui achetant des fleurs alors qu’elle venait de le découvrir avec une autre dans leur lit (« Promis, je ne recommencerais plus, je t’aime Mady, je t’en pris, écoute moi! »). Tant de conneries pour se rendre comptent qu’au final, le dit garçon était fiancé depuis le début avec une beauté fatale qui était à Londres pour ses études. Depuis, elle s’est tant de fois fait manipulé et les fins joueurs en profite habillement.

    Les tréfonds de sa vie privée :
    » Hamlet ; Depuis l’incident qui semble avoir fait fuir la dite personne, Madyson est obsédée par l’absence de ce dernier. Certes, elle n’a pas l’intention d’accepter les gestes qu’il a posé, seulement, qu’est ce qu’il l’a poussé à agir ainsi ? Entre le garçon qui l’avait raccompagné et celui qui l’a presque violé, elle a senti une grande différence. Cet évènement, loin d’être resté insignifiant pour elle, l’a marquée, d’une bonne et d’une mauvaise façon. Elle aimerait tant pouvoir parler à Hamlet, lui demander des explications et lui dire qu’elle ne lui en veut pas – tant qu’il ne désire pas recommencer, alors là, elle va lui flancher une claque au visage. Alors qu’il n’était qu’une ombre dans son paysage, voilà qu’il est devenu l’éclipse qui l’empêche de vivre pleinement son célibat, car Mady ne revient plus avec n’importe quel homme, désormais… du moins, elle le fait à de plus rares occasions ; on ne peut complètement effacé celle que l’on est.

    » Anorexie ; On la dit guéris, en ce moment, cinq après son fameux épisode noir. Celui où elle avait complètement arrêtée de manger, d’exister même. Elle était devenu si maigre, si fragile, si délicate… Il était évident qu’elle avait un problème mais ses parents étaient si observateur (noté l’ironie) qu’ils n’ont vu là que le désir de leur fille d’être plus belle, plus mince encore. Ils étaient loin de se douter qu’elle était si mal en point. Dépressive et anorexique. C’est grâce à sa sœur qu’elle a réussi à s’en sortir et qu’elle a enfin décidé de reprendre sa vie en main en prenant un appartement à Port Ellen, seule, indépendante, seule maître de son destin. Elle consulte chaque semaine un psychologue et une nutritionniste, des gens de confiances… gracieuseté de papa qui regrette de n’avoir rien vu venir.


    • LES RÔLES SECONDAIRES

    You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM 1b832e10
    Janessa Dillingham
    [E M I L I E . B R O W N I N G]
    » Soeur cadette ; Madyson la protège comme la prunelle de ses yeux. Il faut dire que depuis que la jeune fille, à peine âgée de seize, vit chez elle, elle a commencé à se comporter comme une mère avec elle. Janessa, tout comme Madyson, ne s'est jamais senti à sa place au manoir de ses parents et c'est sans scrupule que l'aînée à décider d'accueillir la cadette chez elle, contre l'avis parentale. Elle s'est même chargé de l'inscrire au lycée Holy Prudence Catholic High School. Au yeux de l'école, elle est sa tutrice légale.

    You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM Sugarp11
    Hamlet McGraw
    [S H I A . L A B E O U F]
    » Collègue de travail ; Travaillant comme DJ au F11, tout comme Madyson, il l'a tout de suite remarqué dès son arrivée dans la place, il y a trois ans. Lui, voilà cinq ans qu'il travaillait à la même place, aimant la stabilité (façon de parler) que lui apporte une petite ville comme Port Ellen. Loin d'être beau garçon, il n'a pas du tout été remarqué par Madyson qui ne lui parle pratiquement jamais. Elle ne lui aurait pas porté attention si ce n'était que des rumeurs qui courent à son sujet ; il semblait complètement obsédé par elle. Un soir, à la fermeture, il lui a gentillement proposé de la raccompagner chez elle. Sans grand intérêt, elle accepta son offre. Étonnamment, le lendemain, Hamlet ne revint pas travailler et Madyson n'en parla jamais. Un drôle de mystère rôde autour de ces deux personnes, mais le secret n'a pas encore été percé.


Dernière édition par Madyson Dillingham le Dim 30 Nov - 8:52, édité 27 fois
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MessageSujet: Re: You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM   You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM Icon_minitimeSam 29 Nov - 20:32

You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM Leight12

• L'AUDITION
    Quelle serait la réaction de votre personnage face à l’existence des anges ? : Madyson n'a jamais réellement cru aux anges et à la religion. En fait, gamine, si elle allait à la messe et au cérémonie (mariage, baptème, etc), c'était parce que sa famille l'obligeait car, la plupart du temps, elle en profitait pour dormir ou pour rigoler avec ses cousines. Alors, si jamais quelqu'un lui apprend qu'il est un ange, ou ce genre de choses, elle risque d'être incrédule et de ne pas le croire. Le déni de l'évidence, quoi.
    D’ailleurs, Port Ellen comporte plusieurs mythes à ce sujet (existence passée des anges gardiens). Pense-t-il qu’il y a un fond de vérité, ou que ce ne sont que des racontars de grand-mères naïves comme des poux ? : Comme elle n'y a jamais vraiment cru, elle aurait tendance à se dire que ce sont des racontars, mais, toute rumeur à un fond de vérité, alors, peut-être que c'est, peut-être que ce ne l'est pas... mais tant qu'elle n'en aura pas la preuve tangible, elle n'y croira pas.
    S’il venait à devenir un ange, serait-il plutôt du genre à vouloir garder le secret ou vouloir l’exposer au grand jour, sans honte ? Il est évident qu'elle gardera le secret pour elle, loin de vouloir s'afficher. Elle restera probablement sur l'effet de la surprise plusieurs jours, voir plusieurs semaines, mais elle ne pourra plus contredire la vérité, les faits. La seule personne à qui elle risque d'en parler, c'est sa soeur Janessa et personne d'autres.

    Ce qui vous plaît chez le sexe opposé : « J'aime beaucoup les garçons musclés, de belle apparence. Préférence pour les bruns au teint foncé, bronzé. Et s'il a des yeux bleus ou verts, je fonds, littéralement. »
    Ce qui vous déplaît chez le sexe opposé : « Les chauves, les boutonneux, les petits gros, vous savez, ceux qui sont répugnants. »
    Votre pire expérience amoureuse, pourquoi, avec qui : « Est-ce que mon expérience avec Hamlet compte ? Pour lui, peut-être que c'était de l'amour, mais pas pour moi. Sinon, je me souviens de Oakes, un garçon avec qui j'allais à l'école, petite. Je me souviens qu'il avait voulu me donner sa gomme et qu'il m'avait embrassé pour le faire... mais c'était dégoutant, il bavait comme un Saint-Bernard. Et sa gomme n'était même pas bonne. Je déteste la menthe ! »
    Dans son intimité, il/elle porte : « Je dois l'avouer, j'ai un faible pour les babydolls, vous savez, ces petites robes de nuit en dentelles et en soie, vraiment très mignonne et un brin sexy ? J'ai l'impression d'être encore plus désirable quand je les porte. »
    Série télévisée favorite : « C'est dernier temps, j'aime bien regarder Gossip Girl, The Tudors (avec le splendide Jonathan Rhys Meyers) et Ugly Betty. Je me permet aussi quelques faiblesses en ce qui concerne les émissions de télé-réalité, lorsqu'il m'est possible de le faire... mais pas trop souvent, j'ai ma fierté, tout de même. »
    Votre chiffre chanceux : « Le chiffre 11. »
    Vos projets/ambitions pour le futur : « J'aimerais beaucoup m'ouvrir mon propre bar, ou peut-être devenir actionnaire du F11 avec le magnifique co-propriétaire (et non pas son partenaire d'affaire, saoulons et macho). Sinon, j'espère que ma petite soeur va réussir son diplôme et qu'elle trouvera rapidement sa voie dans la vie. Pour moi, il ne me reste qu'à espérer l'amour... »
    On dit Guimauve ou Marshmallow ? : « Guimauve. »
    Thé vert ou Café instantané ? : « Thé Vert. »
    Aimez-vous détruire du styrophone : « Je déteste le styrophone, surtout le bruit qu'il fait lorsqu'on le brise en plusieurs morceaux... brrr, ça me donne des sueurs froides de dégout ! »

    Votre QI est l’équivalent d’un/de : «Légèrement plus haut que la moyenne.»


    You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM Leight15

    • LE BACKSTAGE

    Prénom/Surnom : Karine / Lullaby.
    Pays/Région : Trois-Rivières, Québec, Canada.
    Sexe : Féminin.
    Célébrité figurant sur l’Avatar : Leighton Meester.
    Comment avez-vous connus Sancte Spiritus ? : Par une publicité sur Acide Édulcorée (même si cette dernière a été archivée par un modérateur - moi - parce qu'elle n'était pas valide). J'ai vraiment accroché sur l'histoire et je n'ai pas pu m'empêcher de m'inscrire !
    Avis sur le forum : J'adore l'histoire de ce forum, c'est original, vraiment ! J'ai rarement vu un forum m'accroche aussi rapidement, et le design est vraiment très bien, ça change des teintes foncés.


Dernière édition par Madyson Dillingham le Dim 30 Nov - 9:03, édité 20 fois
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MessageSujet: Re: You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM   You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM Icon_minitimeSam 29 Nov - 20:39

J'attendais justement que tu te réserves deux messages mdr.
Alors tous d'abord bienvenu sur Sancte Spiritus & Félicitation, tu es le premier membre inscrit (:
Bonne continuation pour ta fiche!
I love you
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MessageSujet: Re: You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM   You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM Icon_minitimeDim 30 Nov - 9:04

    Il est 01h03 du matin, et je crois que j'ai terminée.
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MessageSujet: Re: You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM   You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM Icon_minitimeDim 30 Nov - 15:48

Magnifique You're the queen of the superficial. » MADYSON DILLINGHAM Clap !
Je trouve le personnage de Madyson extrêmement réussis; il est cohérent sous tout les aspects.
Si tu veux, un lien entre Lizzy et Dill ne serait pas de refus ♥ .
Je ne sais pas lequel vus leurs quelques divergences d'opinions mais nous verrons bien.

Sur ce, Mrs. est VALIDÉE.
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